Je compris à ses mots qu'elle aussi n'avait pas envie de rompre le contacte avec moi, et je compris aussi qu'elle avait eu peur, mais aussi que j'étais peut-être le premier mutant qu'elle voyait de sa vie ! Je me demandais si tout lui dire de moi ne la ferait pas devenir hystérique ! Cette pensé me fis rire.

Bon comment tourner la chose sans pour autant la faire fuir, là est la question. Le fait de voie Kelly s'excuser comme ça me mettait un peu plus mal à l'aise, car c'était nouveau pour moi, les être normaux n'avaient pas pour habitude de s'excuser de nous avoir traité de sale mutant ou autres bien au contraire ils sent vente.

"Kelly, arrête de d'excuser, tu as eu une réaction normale, j'ai connu pire durant mes... euh comment dire 200 ans d'existence." Ouais un peu cash, mais bon je devais lui dire la vérité, maintenant impossible de revenir en arrière. Après un blanc d'au moins 10 secondes, je repris mon récit.

"Donc comme je viens de te le dire je suis née il y a bien longtemps, en septembre 1823 pour être plus précis, à Alberta au Canada." Je marque une légère pause, je déglutis avec difficulté, car mes souvenirs d'enfance ne sont pas des plus joyeux, "C'est à l’adolescence que j'ai appris que j'étais une bête sauvage, j'ai assassiné mon père biologique avec ceci."

Je fis sortir mes griffes, et comme à chaque fois j'avais ce foutu sensation de douleur et cette envie sauvage de tout cassé qui prenait place dans tout mon corps.

"Enfin avant elle était en os comme tout mon corps, et avec mon frère Victor, on a participé à plusieurs guerres, on est c'est fait passer pour mort plusieurs fois aussi, car Victor et moi somme comment dire, immortel, et notre vieillissement est ralenti." Je marque une autre pause pour laisser le temps à Kelly de tout absorbé.

"Après quelques années, le commandent William Stryker, tu dois en avoir entendu parler, enfin bref, il nous a recrutés pour créer une unité très spéciale, avec des mutants, après quelques missions entant que mercenaire je décide de tout quitter car je n'accepte pas leur méthode diabolique, qui consisté à tuer des innocents, je repars au Canada, là où j'ai trouvé un travail entant que bûcheron, et je vivais tranquille avec Kayla, la femme qui partage ma vie, jusqu'au jour où Styker envoie mon frère pour la tuée, et me rendre fou à en perdre la raison à devenir le petit joujou de Styker, et c'est à ce moment là que je suis devenue une expérience de labo, et que l'on m'a injecté cette saloperie sur tout le corps." Je ressors une de mes griffes pour lui montrer de nouveau.

"C'est de l'adamantium un métal indestructible, j'appris par la suite que Kayla était en vie et je voulus la sauver des griffes de Stryker, mais ce dernier me tira une balle du même métal qui recouvrait mon corps et cela me rendit amnésique, pendant 15 ans je airé ici et là sans savoir qui j'étais vraiment jusqu'à ce que le professeur Xavier et toute son équipe me trouvent, ils m'ont recruté et je suis devenue un X-men, j'ai retrouvé Stryker et me suis vengé, nous avant aussi perdu des amis comme Jean une amie très chère; après sa mort j'ai décidé de me déconnecter de tout et de recommencer ma vie en solitaire."

Je l'observe, un instant, j'avais peur de l'avoir un peu perdu, puis je repris "J'ai faits un petit voyage au Japon, qui ma fais retrouvé ma mémoire et aussi mon calme intérieur ! Et après 4 mois passés là-bas j'ai décidé que j'étais enfin prêt à revenir à l'institue pour reprendre mon poste entant que professeur et que X-men." Je m'interrons et je la regarde "Voilà tu sais à peu près tout sur ma sinistre vie." Oui sinistre car en y repensent je n'ai pas eu une vie heureuse.

Je sortis un cigare de la poche de ma veste "Je peux ?" Lui dis je tout en lui montrant mon cigare, et oui j'ai quand même passé presque une journée sans fumée cela commencé à me manquer, et puis sa pourrais peut-être me détendre, car à plusieurs reprises lors de mon récit plein d'image m'arrivaient en tête et elle me faisait du mal, surtout celle de Kayla et de Jean,à chaque fois que je pense à elles un sentiment de haine et de tristesse m’envahis. Je me ressaisis, le passé c'est le passé.