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 HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE]

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Clint F. Barton

Clint F. Barton


Messages : 122
Date d'inscription : 26/08/2012


HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] _
MessageSujet: HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE]   HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] I_icon_minitimeDim 26 Aoû - 10:40



Clinton Francis Barton
Jeremy Renner
Hawkeye
Puisqu'il faut tout vous dire, je m'appelle Clinton Francis Barton mais il est plus probable qu'on m'appelle Clint, Agent Barton ou Hawkeye. Je suis un humain né le 9 février 1977 à Waverly, dans l'Iowa, j'ai donc 35 ans. Je suis un homme qui aime les femmes et est célibataire.
Je suis un agent du SHIELD. Je manie et possède un arc de haute technologie équipé de toutes sortes de flèches spéciales, et j'ai le(s) pouvoir(s) suivant(s) : une précision et une acuité hors du commun, une maîtrise excellente de plusieurs arts martiaux. On dit de moi que je suis franc, sarcastique, tacticien, et que je sais garder mon sang-froid et que je ressemble à un homme de taille moyenne, aux yeux bleus et aux cheveux châtains.



Laisse moi te parler un peu plus de mon histoire quand même, c'est relativement important de le savoir.

PARTIE I

Ma vie n'a pas été un long fleuve tranquille, c'est le moins que l'on puisse dire. Je suis né le 9 février 1977 dans la petite ville de Waverly. Deuxième fils de Harold et Edith Barton, je grandis dans une maison dont le rez-de-chaussée abrite une boucherie. Mon père est le boucher, et ma mère travaille avec lui. Je crois qu'ils embauchaient un ou deux jeunes d'ailleurs, ça marchait assez bien. Mon frère Barney – il s'appelle Bernard, mais on ne l'appelait jamais comme ça, tout comme pour moi en fait – et moi allions à l'école, nous avions des amis, bref tout allait bien. Sauf que mon père se mit à boire. Je dis qu'il s'y est mis car c'est ce qu'on m'a expliqué, mais je n'ai pas de réel souvenir de lui lorsqu'il n'était pas alcoolique. Barney et moi étions encore très jeunes quand notre vie a commencé à devenir un enfer, alors c'était presque normal pour nous. Il nous battait, devenait fou, criait sur maman. Je n'ai jamais compris pourquoi, mais je m'en fous. Parfois, il était assez sobre pour se rendre compte qu'il ruinait la vie de ses fils et de sa femme, mais il se consolait avec un autre verre. Je le détestais, Barney aussi. Je le déteste toujours.

D'ailleurs, cet idiot a bien voulu enfoncer le clou ; quand j'ai eu huit ans, mes parents sont morts. Tous les deux, dans un accident de voiture - inutile de préciser que Harold était au volant. Il s'est tué - tant pis pour lui - mais il a aussi tué maman. Barney et moi avons été placés dans un orphelinat, n'ayant plus de famille proche, et je peux vous dire que nous n'y avons pas passé les meilleures années de notre vie. Heureusement, on était à deux et avec ce qu'on avait vécu, on était liés comme les deux doigts de la main. Tous nos camarades n'avaient pas cette chance par contre. L'ambiance équivalait à celle qu'on avait connue à la maison jusque là. On ne se faisait plus battre par notre père, mais on se battait avec les autres. Personne ne se souciait vraiment de nous, et nous nous renfermions de plus en plus sur nous-mêmes. Au bout de six ans – et je me demande encore parfois comment on a tenu, mais nous étions encore petits après tout – Barney en a eu assez. Il décida que l'on devait s'enfuir, courir au loin, voir le monde. Il était persuadé qu'on aurait notre place ailleurs, que quelque part, quelqu'un nous attendait. « De toutes façons, » disait-il, « rien ne peut être pire qu'ici. »
Alors nous nous sommes sauvés, par un soir d'été, profitant du laxisme au niveau de la sécurité. Deux de plus, deux de moins, ces incapables ne feraient pas la différence ; ils n'en avaient rien à faire de nous.

Et puis on a erré, un moment. Enfin, on est tombés sur un cirque qui s'appelait le « Carson Carnival of Travelling Wonders ». Le directeur, Mr. Buck Chisholm, a accepté de nous prendre avec eux. Je n'arrivais pas à y croire, j'avais peur qu'ils appellent la police et nous renvoient en orphelinat, mais apparemment ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça. Qu'importe, nous avions enfin quelque part où aller, un endroit où vivre et s'amuser, grandir sans que personne ne nous violente ou nous oppresse. Ce fut difficile, de se réadapter à la vie et la société, mais la plupart des artistes avaient vécu des choses aussi dures que nous, nous nous sentions donc compris et acceptés. Et puis, la vie du cirque nous plaisait. Je pense pouvoir dire que nous avons été heureux quelques temps là-bas.
Au début on donnait des coups de main un peu partout, on dépannait. Mais deux jeunes garçons de treize et quatorze ans en plein développement physique, c'est très intéressant. Jacques Duquesne, plus connu sous le nom de Sworsdman, nous as un jour proposé de l'aider dans son numéro. C'était l'une des grande star du cirque. Son numéro de maniement d'épées nous époustouflait. Il était si habile avec les armes que nous pouvions passer des heures à l'observer s'entraîner sans éprouver de lassitude. Il était un peu notre idole en fait.
Barney refusa, pour une raison qui m'échappe encore aujourd'hui, mais moi j'ai sauté sur l'occasion. Je l'ai aidé, et il a décelé du potentiel en moi. Il eut alors à cœur de m'apprendre à utiliser différentes sortes d'armes, tant pour le combat que pour faire des numéros avec. Tandis que les garçons de mon âge admiraient les joueurs de base-ball ou de football américain, moi je passais mes journées à jongler avec des couteaux, à faire l'équilibriste avec des épées ou à lancer des pieux pour impressionner Jacques Duquesne. Et ça marchait en plus. Quelques temps après, il convainquit Buck Chisholm, ni plus ni moins, de m'entraîner au tir à l'arc. Si j'étais à l'aise avec les armes blanches, la découverte de l'arc changea ma vie du tout au tout : j'étais fait pour ça. C'était comme une révélation. Avec un peu d'entraînement, je pouvais toucher n'importe quelle cible, mouvante ou pas à une distance d'environ cent mètres. Buck et Jaques étaient ravis et impressionnés. Ils disaient jamais n'avoir vu pareil talent.
Barney, par contre, commença à s'éloigner de moi. Il me disait de me méfier du Swordsman, me répétant inlassablement qu'il se servait de moi. Bien sûr je le savais jaloux, car lui n'avait osé profiter de la chance que nous avait proposé Jacques Duquesne. Jaloux de l'attention qu'on me portait.

Quand j'ai eu 17 ans, nous nous sommes disputés pour la première fois. C'était déjà froid depuis un moment entre nous, mais notre amour fraternel prenait toujours le dessus sur les petits différends quotidiens. Depuis quelques temps, il essayait de me persuader de me concentrer sur mes études. Lui voulait absolument obtenir son diplôme du lycée afin d'aller à l'université. Il semblait penser que je n'avais pas d'autre option que de l'imiter. Or, les études ne m'intéressaient pas. Je voulais faire du cirque, de l'arc, du show. Je voulais traverser le pays, et peut-être même un jour le monde, en faisant mon numéro chaque soir devant des foules de curieux. J'avais déjà mon propre numéro, inséré dans celui de Trickshot (le nom de scène de Buck.), mais je rêvais de plus encore. Je ne voulais pas partir. Lui si.
Barney en eut assez de mon « irréalisme » selon ses propres mots, et m'accusa d'être égoïste. On ne s'est plus reparlé pendant quelques semaines.

Un soir, alors qu'on venait de finir un spectacle, j'ai surpris Jacques en train de voler la caisse du cirque. Il était criblé de dettes, et volait l'argent que toute la troupe avait durement gagné afin de les payer. J'ai essayé de le raisonner, puis j'ai menacé de le dénoncer. Il est devenu violent et m'a alors roué de coups, bien décidé à me réduire au silence. Heureusement, Buck s'interposa et l'empêcha de me tuer. Il s'enfuit à jamais du cirque.
Quand Barney l'apprit, il resta insensible aux révélations sur Jacques et sur le fait qu'il avait voulu me tuer ; il me reprocha seulement de ne pas avoir été fidèle à mon mentor. Je ne sais pas vraiment comment s'est arrivé, mais nous n'avions déjà plus grand chose en commun, mon frère et moi.

Lorsque j'ai eu 19 ans, Barney décida de partir du cirque et de rentrer dans l'armée. Il me proposa de le suivre, mais ma vie était là, je ne pouvais pas partir. Le regard qu'il m'a lancé m'a fendu le cœur ; c'était comme s'il me proposait une toute dernière chose, comme une dernière chance. Comme si je lui avais dit trop de fois non. Et je savais que c'était le cas. Mais j'ai refusé.
Je crois qu'il a attendu jusqu'au dernier moment pour monter dans le bus le jour où il est parti, mais je n'en serai jamais sûr, car j'étais en retard. Quand je suis arrivé, le bus venait de démarrer.

Je n'ai plus eu de ses nouvelles.

Mais la vie continuait, et je devenais de plus en plus célèbre. Swordsman parti, Buck m'offrit le numéro à l'affiche, celui que tout le monde attendait avec impatience. Quinze minutes de tir, quinze minute de sauts périlleux et de figures acrobatiques tout en tirant des flèches dans tous les sens et à chaque fois dans le mille. Les yeux bandés, les multiples cibles mouvantes, les interruptions de projectiles, tout y passait. Et chaque fois, j'avais un succès fou. On me pensait sur-humain, les gens imaginaient toutes sortes de théories sur moi. Le cirque était rempli tous les soirs et Buck était aux anges.

Un soir, alors que j'avais 24 ans, Buck me proposa d'aller faire une escapade. En fait, il s'agissait d'aller braquer la demeure d'un certain mafieux nommé Marko, c'était donc diablement périlleux. Mais j'étais prêt à suivre Buck jusqu'au bout du monde, je l'accompagnais donc de bonne grâce. De plus, ce criminel méritait amplement d'être remis à sa place n'est-ce pas ?
Tout se passa bien – nos talents combinés faisaient des merveilles, et je me pris à rêver quelques minutes d'une vie à la Robin des Bois – jusqu'à ce que je réalise que l'un des gardes que j'ai éliminé n'est autre que... Barney, mon frère. Je me précipitais alors à ses côtés, mettant Buck en péril ainsi que notre objectif. Mais je ne pouvais pas laisser Barney là, seul, et puis merde, je viens de tirer une flèche sur mon frère ! Je crois bien que je ne me suis jamais senti aussi mal qu'à ce moment là. Heureusement, il n'était pas mort et sa blessure, bien qu’impressionnante, ne mettrait pas sa vie en danger si elle était vite soignée. Buck me supplia de le rejoindre, car il était temps de rentrer et que tout ça était incroyablement dangereux, mais je refusa. J'avais tellement manqué à mon devoir de frère, je lui avait causé tant de peine, et voilà que je lui tirais dessus. Même Buck ne pourrait m'arracher à lui. Paniqué, il se mit en colère, m'accusant de trahison. Il devint fou de rage et me tira dessus à son tour avant de s'enfuir.

La suite est un peu floue ; je sais que je n'ai pas lâché mon frère cette nuit là. On a fini à l'hôpital, puis à la police. Le lendemain, je me suis réveillé derrière les barreaux. Une cellule adaptée aux soins, mais une cellule tout de même. C'était assez ironique après tout, mais j'avais cambriolé la maison d'un homme, bien que connu des services de polices. Mais c'était moi, derrière les barreaux. J'avais horriblement mal au bas du ventre, là où la flèche s'était planté. Et Barney n'était plus là.
J'étais défaitiste : j'allais me retrouver en prison, alors que je devenais enfin l'un des artistes les plus célèbres du monde du cirque, et j'avais perdu une par une les personnes auxquelles je tenais.
Deux jours plus tard, lorsque mon état s'était amélioré, on me passa les menottes et on m'emmena dans une pièce où on m'interrogerait. Un homme fort bien habillé, portant un costume noir et des lunettes de soleil, me pria de m'asseoir, puis, à ma grande surprise, il m'enleva mes menottes.
Il s'assit en face de moi, retira ses lunettes et se présenta.

« Bonjour Mr. Barton. Je suis l'agent Coulson, du bureau de recrutement du S.H.I.E.L.D. Vous serez certainement intéressé par ma proposition. »


PARTIE II



Cela fait donc maintenant onze ans que j'ai intégré le SHIELD. Envolés, mes rêves de cirque et de spectacles. J'ai trouvé par là un moyen de me sortir des ennuis dans lesquels j'étais à l'époque empêtrés, et aussi un métier où je pouvais utiliser mes talents pour le bien et la sécurité de tous. Je reçus un entraînement digne des meilleurs films d'espionnage, et je devins rapidement l'un des agents les plus efficaces et redoutables que le SHIELD ait jamais eu.
Un jour, on m'a envoyé en Russie avec l'ordre d'éliminer une criminelle connue sous le nom de la Veuve Noire. Ce ne fut pas simple ; la cible était particulièrement douée, étant une espionne de renom et une adversaire redoutable, et je ne pourrais pas simplement l'avoir d'une flèche dans le dos. Mais je tins bon, et au bout de quelques mois de traque et d'affrontements, je la tenais enfin à ma merci. Jusqu'à ce que nos regards se rencontrent, et que j'aperçoive une expression de peur dans ses beaux yeux bleus. Je ne l'ai pas tuée. Nous nous sommes enfui, ensemble.

Natasha Romanoff est devenue l'une des nôtres, et elle est encore à ce jour la plus fidèle amie que j'aie jamais eu. Nos relations sont parfois un peu étranges, mais je ne voudrais pas la perdre elle aussi. Je sais que je peux lui faire confiance, et c'est réciproque. Tous les deux nous formions une équipe quasiment invincible.

Onze ans de bons et loyaux services au SHIELD, des moments difficiles, d'autres moins, jusqu'à ce que Nick Fury m'assigne à une tâche certes bien peu palpitante, mais d'une importance capitale : surveiller le cube cosmique appelé le Tesseract. Une source d'énergie incroyable et instable qui pourrait être une menace pour la planète et même l'Univers si elle tombait en de mauvaises mains. J'ai passé des mois et des mois perché dans la salle où les scientifiques travaillaient sur le cube, à observer, à surveiller. Et un jour, il a commencé à s'agiter. Tous le monde était inquiet, ne comprenait pas. Je ne comprenais pas moi-même ; rien n'échappe à ma vision, et je peux vous assurer que rien ni personne n'avait jamais eu un contact étrange ou un comportement suspect. J'avais surveillé tout particulièrement Erik Selvig, car de toute l'équipe il était le seul à avoir rencontré l'un de ces étrangers de l'espace, mais il n'avait pas cessé de travailler.
Un soir, les perturbations atteignirent des sommets. Le Directeur Fury donna l'ordre d'évacuer, puis se rendit en personne sur le site. Je lui fit part de mes impressions : personne n'étais compromis de ce côté, cela venait donc d'ailleurs. De l'autre côté du portail. Car le Tesseract était un outil de transition entre plusieurs mondes, comme une porte. Et les portes s'ouvrent par les deux côtés.
Les minutes qui suivirent me donnèrent raison. Le Tesseract libéra une dose d'énergie formidable, et un portail s'ouvrit. Un homme à l'allure inquiétante en sortit, et saccagea le site, tuant la plupart des gens présents en quelques secondes. J'essayais de alors de l'attaquer, mais il était bien trop fort. Il dirigea son espèce de sceptre sur moi, et le monde devint flou.

Ce fut l'une des pires périodes de ma vie. Avez-vous déjà ressenti le fait de ne plus être maître de vous-même ? De ne plus pouvoir maîtriser vos actes, vos paroles, vos pensées ? Ce Loki, cet auto-proclamé Roi, Dieu, m'obligea à lui obéir, à servir ses envies de pouvoir et ses plans diaboliques. Je savais que Fury mettrait en place le projet initiative des Avengers, et je ne pouvais m'empêcher de donner à Loki toutes les informations qui étaient en ma possession. Un vrai chien, c'est ce qu'il a fait de moi. Un robot incapable de penser, seulement là pour obéir et mener à bien ses objectifs. J'ai tué, beaucoup tué. Certes, je n'ai jamais eu les mains propres, mais tuer des innocents dans le but d'aider un extra-terrestre mégalo à dominer le monde, ça je ne l'avais jamais fait. Oh, je lui étais utile. Il semblait content de m'avoir comme sbire ; j'ai toujours été un agent exceptionnel après tout.
Deux jours plus tard, alors qu'il était allé se faire prisonnier sur l'héliporteur du SHIELD, nous avons été lancés à l'assaut du bâtiment volant. On a tué, encore et encore, et si le plan n'a pas tout à fait fonctionné, l'essentiel était là : Loki s'était échappé, et le SHIELD et les Avengers étaient affaiblis comme jamais. Quand à moi, je ne suis pas reparti avec le mégalo. Natasha et moi nous sommes affrontés sur l'héliporteur. J'étais si ensorcelé que j'ai vraiment tout fait pour la vaincre, je me souviens encore de cette impression horrible, de cette rage et de cette folie meurtrière qui m'habitait. Cela me hante encore parfois. Et si je l'avais tuée ? Comment aurais-je pu survivre à pareille horreur ? Heureusement, la folie n'est certainement pas la clé de la réussite, car Natasha eut le dessus sur moi, et m'envoya valser dans la barrière. Je me pris une barre de métal en plein dans la tête. Le choc me sonna, et le monde tourna autour de moi. J'avais l'impression que quelque chose avait changé, mais quoi ? Qu'est-ce que je faisais là d'abord ? Où étais-je ? Et... Pourquoi Natasha me regardait comme ça ? Natasha ? Et puis ce fut le noir total.

Je me réveillais plus tard, dans une des chambrette de l'héliporteur. Natasha était là avec moi. J'avais les poings et les pieds attachés au lit. Le monde tournait encore autour de moi, j'étais confus. Lorsque que je regardais Tasha, des sentiments contraires s'affrontaient en moi : le besoin urgent de lui sauter dessus et de l'étrangler avec force, l'envie de lui enfoncer un couteau dans la gorge, et la honte, la tristesse. Il fallait que je me sauve de là, je ne voulais pas lui faire du mal, surtout pas à elle. Il me fallut du temps et toute la force de persuasion de Natasha pour ne plus me sentir menacé, manipulé. Elle m'expliqua la situation, la mort de Coulson, les dégâts que Loki – et moi, mais elle se garda bien de me le faire remarquer – avait causé, à quel point la planète était dans la merde. Je me sentais sale et horriblement coupable. Mais le coupable, c'était Loki, et ma seule envie était de me venger. Même si la bataille semblait perdue d'avance, il fallait tout tenter.

C'est ainsi que j'intégrais pour la première fois l'équipe des Avengers, qui jusque là n'avait pas vraiment été efficace. Mais le désespoir de la situation sembla réveiller un esprit collectif qui jusque là n'avait pas existé. La bataille prit place à Manhattan. Elle fut violente, impressionnante et pourtant, fut assez courte. Loki et son armée furent vaincus. L'expression sur son visage lorsque nous sommes allés l'arrêter ne me fit pourtant ni chaud ni froid, ni même le fait de le voir enchaîné et renvoyé sur Asgard avec Thor. Rien ne me donna l'impression d'avoir pris ma revanche. Certes, j'ai participé au sauvetage de la Terre, ce qui compense largement les actions que j'ai mené sous l'emprise de sa magie, mais pour moi ce n'est pas assez. J'ai encore parfois des cauchemars, j'ai encore parfois les mains qui tremblent. Je ne sais pas quand je serais libéré de cette frustration et de cette colère, mais croyez-moi quand je vous dit que si je croise à nouveau sa route, il risque de le regretter. Mais je sais que ce jour n'arrivera pas : il est enfermé à Asgard, à des milliers d'années lumières d'ici, et bien qu'ayant très envie de lui planter une flèche là où je pense, je préfère qu'il reste le plus loin possible de notre planète.

Je continue donc de vivre, alternant entre les missions pour le SHIELD et les réunions avec les Avengers. Pour l'instant, rien de notable ne s'est passé, mais je n'ai jamais vu Fury aussi agité, inquiet. Il est déjà sur le qui-vive jour et nuit d'habitude, mais là c'est comme s'il s'attendait à faire face à une évasion extraterrestre d'un jour à l'autre.
Je ne peux pas le blâmer. Avec ce qui s'est passé dernièrement, on peut s'attendre à tout, au meilleur comme au pire.

Surtout au pire, en fait.



Quand à moi derrière l'écran, je m'appelle Camille, j'ai 18 ans et j'ai connu le forum par le groupe des Rpgistes sur Facebook. Je serai actif 5 jours sur 7 en moyenne mais en attendant j'ai lu le règlement je vous jure, regardez Validé par la grosse peluche. Roooh tu m'as démasqué sur le forum je suis aussi personne heheheeee et le groupe de ce personnage est Avengers/SHIELD




Dernière édition par Clint F. Barton le Mer 29 Aoû - 1:03, édité 5 fois
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LokiPrince des Glaces
Loki Laufeyson

Loki Laufeyson


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Localisation : Chez Tony. Comment ça dans son lit ? Oui aussi. Mais pas tout le temps.


HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] _
MessageSujet: Re: HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE]   HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] I_icon_minitimeDim 26 Aoû - 12:59

Bienvenue' =)

Si tu as des questions n'hésite pas. Par contre je ne veux pas de flèche dans l’œil hein. =P
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Clint F. Barton

Clint F. Barton


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HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] _
MessageSujet: Re: HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE]   HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] I_icon_minitimeLun 27 Aoû - 11:02



    Merciiii Loki :D

    J'essaierai de viser ailleurs alors Rolling Eyes

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Wanda Maximoff

Wanda Maximoff


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Localisation : Transie


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MessageSujet: Re: HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE]   HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] I_icon_minitimeMar 28 Aoû - 5:42

Bienvenue parmi nous ! Le groupe va commencer à se construire, je trouve ça super !
Amuse-toi bien avec Clint et bonne chance pour la suite de ta fiche !
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http://hungrylikethewolf.forumactif.com/



Clint F. Barton

Clint F. Barton


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MessageSujet: Re: HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE]   HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] I_icon_minitimeMar 28 Aoû - 21:07



    Merci Wanda ! :D J'espère qu'il continuera de se construire en tout cas !

    Et... j'ai fini ma fiche ! HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] 3482474166

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Fenrir Lokison

Fenrir Lokison


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HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] _
MessageSujet: Re: HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE]   HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] I_icon_minitimeMer 29 Aoû - 19:58

Bienvenuuue ! ~

Je ne dirai qu'une chose. J'ai a-do-ré lire ta fiche, vraiment. *^* C'est donc avec une grande joie que je t'annonce que...

Hey te voilà validé.

Eh oui tu es validé, génial non ? A présent tu peux RP. Tu peux aussi faire tes demandes de liens ou de RP's (les liens et les RP's), les liens sont importants n'est-ce pas, on aime tous savoir qui est ami avec qui et tout le reste. Tu peux aussi faire la liste de tes RP's (ici).

De plus tu peux aussi faire tes demandes diverses comme un rang ou une habitation ben oui ton perso ne va pas dormir dans la rue. Ces demandes sont .

Oh et si jamais tu as a besoin d'un personnage important pour ton histoire et le futur de ton personnage tu peux créer le poste vacant, grâce à ce formulaire et poster dans cette section.

Je pense avoir tout dit, quoique, une dernière chose, amuses toi bien parmi nous et bon jeu. N'hésite pas à venir sur la cb, on ne mord pas, enfin presque pas il y a quand même un loup.


Au plaisir de RP avec toi, pitit Legolas en herbe ! 8D *SBAMM* Retourne sur ton compte, Tony. ewe
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Clint F. Barton

Clint F. Barton


Messages : 122
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HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] _
MessageSujet: Re: HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE]   HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] I_icon_minitimeMer 29 Aoû - 20:28



    Oh merciiiii HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] 1378973249

    Oui haha, au plaisir Monsieur Stark ! ;)


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HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] _
MessageSujet: Re: HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE]   HAWKEYE ◘ I'll need a distraction. And an eye-ball. [FINIE] I_icon_minitime

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